Constituante : Jean-François Ndongou et Paulette Missambo rassurent les populations
Ils ont animé ce mardi, une conférence de presse, à l’hémicycle de l’Assemblée nationale, pour faire le point sur les travaux de l’examen de l’avant-projet de Constitution, achevés le dimanche 22 septembre écoulé.
LIBREVILLE(Plusinfos)-Le président de l’Assemblée Constituante, Jean-François Ndongou et la Vice-présidente de cette Assemblée, Paulette Missambo, ont animé ce mardi, une conférence de presse, à l’hémicycle de l’Assemblée nationale, pour faire le point sur les travaux de l’examen de l’avant-projet de Constitution, achevés le dimanche 22 septembre écoulé, a constatéLe président de l’Assemblée Constituante, Jean-François Ndongou et la Vice-présidente de cette Assemblée, Paulette Missambo, ont animé ce mardi, une conférence de presse, à l’hémicycle de l’Assemblée nationale, pour faire le point sur les travaux de l’examen de l’avant-projet de Constitution, achevés le dimanche 22 septembre écoulé, a constaté Plusinfos.
Face aux 801 amendements proposés par les parlementaires issus des 194 articles des recommandations du Dialogue National inclusif (DNI), le président de l’Assemblée Constituante et sa Vice-présidente, ont rassuré le peuple Gabonais sur les divers points d’achoppement du projet de la Constitution, notamment les critères d’éligibilité pour accéder à la présidence de la République.
« Je peux garantir que nous avons travaillé sur un document qui va régir la vie gabonaise, la vie sociale, politique, économique de la République gabonaise. Faites confiance aux parlementaires de la Transition parce qu’ils ont réfléchi non seulement à la situation actuelle, mais aussi au futur. Les pouvoirs seront gérés de manière différente que ce que nous avons vécu par le passé », a déclaré Jean-François Ndongou.
S’agissant de la question de critères d’éligibilité pour accéder à la présidence de la République, il a signifié que les parlementaires ont tenu compte du vécu du Gabon, de la sociologie et que les 801 amendements correspondent aux avis des Gabonais.
La Vice-présidente de l’Assemblée Constituante, Paulette Missambo est quant à elle, revenue sur l’article 53 qui stipule que « sont éligibles à la présidence de la République tout gabonais né de père et de mère gabonais (…) et marié à un ou une gabonaise née de père et de mère gabonais . »
« Avant le 30 août 2023, il y a eu un traumatisme chez les Gabonais. Maintenant, nous légiférons pour un long avenir et voir comment les dispositions qui seront arrêtées pourront faire en sorte que les Gabonais ne subissent plus ce même traumatisme », a -t-elle indiqué.
Pour clore, le président de l’Assemblée constituante a indiqué que la prochaine étape qui consistera à remettre le rapport de l’avant-projet de loi au chef de l’État.
« C’est à lui, avec le Gouvernement d’apprécier les travaux des parlementaires, et ensuite, soumettre ce projet au référendum », a-t-il fait savoir. Et d’ajouter que « si le Oui l’emporte, le président de la Transition va promulguer et ce sera la loi de la République Gabonaise. ».
Face aux 801 amendements proposés par les parlementaires issus des 194 articles des recommandations du Dialogue National inclusif (DNI), le président de l’Assemblée Constituante et sa Vice-présidente, ont rassuré le peuple Gabonais sur les divers points d’achoppement du projet de la Constitution, notamment les critères d’éligibilité pour accéder à la présidence de la République.
« Je peux garantir que nous avons travaillé sur un document qui va régir la vie gabonaise, la vie sociale, politique, économique de la République gabonaise. Faites confiance aux parlementaires de la Transition parce qu’ils ont réfléchi non seulement à la situation actuelle, mais aussi au futur. Les pouvoirs seront gérés de manière différente que ce que nous avons vécu par le passé », a déclaré Jean-François Ndongou.
S’agissant de la question de critères d’éligibilité pour accéder à la présidence de la République, il a signifié que les parlementaires ont tenu compte du vécu du Gabon, de la sociologie et que les 801 amendements correspondent aux avis des Gabonais.
La Vice-présidente de l’Assemblée Constituante, Paulette Missambo est quant à elle, revenue sur l’article 53 qui stipule que « sont éligibles à la présidence de la République tout gabonais né de père et de mère gabonais (…) et marié à un ou une gabonaise née de père et de mère gabonais . »
« Avant le 30 août 2023, il y a eu un traumatisme chez les Gabonais. Maintenant, nous légiférons pour un long avenir et voir comment les dispositions qui seront arrêtées pourront faire en sorte que les Gabonais ne subissent plus ce même traumatisme », a -t-elle indiqué.
Pour clore, le président de l’Assemblée constituante a indiqué que la prochaine étape qui consistera à remettre le rapport de l’avant-projet de loi au chef de l’État.
« C’est à lui, avec le Gouvernement d’apprécier les travaux des parlementaires, et ensuite, soumettre ce projet au référendum », a-t-il fait savoir. Et d’ajouter que « si le Oui l’emporte, le président de la Transition va promulguer et ce sera la loi de la République Gabonaise. »
